Quelques lignes toutes roses pour une amie qui a eu du chagrin en apprenant qu’elle allait de nouveau devoir passer sur le billard pour une 4e et dernière FIV.
Petite Lili dans ton mail tu dis que tu es triste et que les rêves ça sert à rien sauf à avoir mal.
Ça m’a fait penser à une jolie chanson de Souchon dont je copie un couplet ci dessous. (*)
Parce qu’après tout c’est quoi la vie?
On court après des rêves. On tombe. On s’égratigne. Et puis on se relève et on recommence. Parfois on réussit. Parfois on échoue. Mais qu'est ce qu'on peut faire d'autre que rêver encore?
On est quoi sans espoir petite Lili? Faut qu’on garde le poing levé, toujours…
Plein de soleil à toi et à vous toutes !
(*)Tout on long de la vie qui pique, on prend des baignes.
A poursuivre des rêves électriques, des sacrés châtaignes.
On se retrouve couché par terre, l’effet uppercut.
On se retrouve couché par terre, l’effet uppercut.
La vie sans en avoir l’air, ça électrocute.
Tout au long de la vie c’est sûr, on est rêveur.
Tout au long de la vie c’est sûr, on est rêveur.
A vouloir mettre la main sur, le fil conducteur.
On se retrouve alors par terre, triste et tout nu.
On se retrouve alors par terre, triste et tout nu.
Dans la vie de toute manière, on prend du jus.
Mais qu’est ce qu’on peut faire d’autre, qu’essayer ?
Mais qu’est ce qu’on peut faire d’autre, qu’essayer ?
On ne va pas rester par terre, à somnoler…